After a series of government dismissals, fears of the return of the political crisis in Iraq

4th November 2022

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Les Talibans dirigent l'Afghanistan vers la pire crise humanitaire au monde Depuis que les Talibans ont pris le contrôle de l'Afghanistan et que le pays traverse des crises successives menaçant l'effondrement de la domination du groupe extrémiste, comme l'a confirmé l'ancien Conseiller à la sécurité nationale de l'Afghanistan, Dr Hamdullah Mohib, qui a estimé que le régime était non seulement sur le point de s'effondrer, mais qu'il était au bord d'une guerre civile. Situation catastrophique Depuis la chute de la capitale afghane, Kaboul, marquée par un retrait anarchique de l’Occident, l’Afghanistan vit une catastrophe après l’autre, comme l’a souligné le magazine américain Modern Diplomacy, qui a indiqué que le pays est actuellement confronté à un effondrement économique imminent - en seulement une année de croissance de 10 ans - et que plus de 95 % de la population vit sous le seuil de pauvreté, une augmentation de 65 % depuis 2021, et la perspective d’une guerre civile imminente ne fera qu’aggraver ces problèmes humanitaires; Ce qui fait de l'Afghanistan l'un des pires cas d'effondrement de la situation humanitaire dans le monde (si ce n'est le pire), après tout, l'Afghanistan a connu une guerre civile, mais pas pendant la crise alimentaire, environnementale et économique. Hamdullah Mohib, qui a été ambassadeur de l'Afghanistan aux États-Unis durant les années du mandat de l'ancien président Barack Obama avant de devenir conseiller à la sécurité nationale pour l'Afghanistan, a déclaré que les chances des talibans d'éviter une guerre totale s'amenuisent chaque jour. Le G20 du mois prochain, par exemple, pourrait être l'une des dernières occasions de reconnaître leur violation flagrante des droits des femmes, ou leur suppression de la liberté d'expression. Source de menace D'après Modern Diplomacy, les puissances mondiales ne reconnaissent pas officiellement le dialogue intergouvernemental avec les Talibans. Un effort important a été fait au niveau international pour débloquer l'aide humanitaire dont le pays a tant besoin, en particulier de la part des États-Unis. Malgré ces efforts, et malgré le désir des États-Unis de croire aux promesses des talibans, toutes les informations disponibles suggèrent que l'Afghanistan est devenu la garde de toutes sortes de groupes extrémistes djihadistes, tout en prouvant que les talibans ne tiennent pas compte des valeurs humanitaires, comme les dirigeants talibans de longue date. L'Afghanistan sous le règne des Talibans est devenu une menace majeure pour la sécurité régionale, avec déjà plus de 2,5 millions de réfugiés afghans connus dans le monde entier. Mais si les Talibans étaient autorisés à poursuivre leur régime cruel, cette situation pourrait s'accroître de manière spectaculaire. Même ceux qui étaient plus enthousiastes à l'égard de la prise du pouvoir par les Talibans - comme le Pakistan, qui est le principal soutien logistique et financier des Talibans - ont été forcés de reconnaître qu'ils luttent pour gérer les millions de réfugiés afghans qui se réfugient actuellement dans leur pays, au-delà des frontières du Pakistan, la perspective d'une crise mondiale ou d'une augmentation des risques pour la sécurité serait un défi évident, depuis de nombreuses années.

Iraqi Prime Minister Mohammed Shia’ Al Sudani’s decision to cancel several appointments of senior officials – appointed by his predecessor Mustafa al-Kadhimi – has raised fears that Iraq may enter a new political crisis in light of the worsening economic crisis, especially after the Council of Ministers endorsed the dismissals. Among those sacked were intelligence chief Raed Jawahi and the head of the National Security Agency Hamed al-Shatri, while Maj. Gen. Talib Shajati, the head of the Counter-Terrorism Agency, was appointed intelligence chief, according to reports circulated (Thursday).

New doubts

According to the London-based Middle East newspaper, Al Sudani defended his decision, asserting that “the decision of the Federal Court is binding and in force by the government.” The newly appointed Prime Minister also admitted that the dismissals might raise some doubts, but he reassured Iraqis that they do not involve a policy of exclusion.

Iraq: In front of al-Sadr’s position, Al Sudani government is in a difficult test

Al Sudani canceled several appointments made by al-Kadhimi after the October 2012 elections, citing the former government’s “temporary” status. Al-Sudani said that according to the Supreme Court, the interim government does not have the right to make such high-level appointments.

The newspaper added that based on the Federal Supreme Court’s ruling and the ministerial program, the Council of Ministers agreed to cancel all executive orders issued by the previous government regarding the appointment of heads of agencies who are not affiliated with a ministry, special positions, general directors, those in their positions, and those who receive equivalent salaries as of October 8th, 2021.

Recovery of looted funds

The London-based newspaper confirmed that Al Sudani had met with the United Nations Special Representative for Iraq, Jeanine Hennis-Plasschaert. During the meeting, Al-Sudani urged the international community to support Iraq in recovering its looted money.

For her part, Hennis-Plasschaert offered assistance through United Nations programs to provide training and logistical support to government efforts to combat and reduce corruption.